À la une de votre magazine cette semaine, la France dans l'attente d'un nouveau gouvernement.Si le Premier ministre souhaite une équipe élargie, ce sera sans la Gauche. Plusieurs personnalités ont déjà refusé son offre.Nous nous interrogerons aussi sur le rôle du Rassemblement National. Le parti d'extrême droiteOn en parle avec Anthony Berthelier, journaliste politique au Hunffington Post.
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Faire durer le plaisir... Après l'été à succès des Jeux de Paris, plusieurs centaines d'athlètes français se préparaient samedi à défiler sur les Champs-Elysées devant des dizaines de milliers de spectateurs, avant un concert géant place de l'Etoile. Précisions de Cédric Ferreira, journaliste sportif France 24.
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Des centaines de personnes rassemblées à Marseille, Paris, Nice... Alors que le procès Mazan est en cours à Avignon, des appels à manifester ont été lancés partout en France en soutien à Gisèle Pelicot et à toutes les victimes de viols.
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Michel Barnier s'est engagé ces derniers jours à présenter une équipe la semaine prochaine. Des négociations sont menées en coulisse, mais on sait déjà que certaines personnalités de gauche ont décliné son offre d'entrer au gouvernement. Sujet France 2.
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La cheffe de file du Rassemblement national Marine Le Pen a appelé samedi à une nouvelle dissolution en 2025, estimant que la situation politique actuelle "ne peut pas tenir", lors de la rentrée parlementaire des députés d'extrême droite à l'Assemblée nationale. D'ici là, le président du parti, Jordan Bardella, a appelé ses troupes à incarner une opposition "constructive" et "influente".
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Les athlètes de l'équipe de France vont parader à Paris, samedi, sur les Champs-Élysées pour un baroud d'honneur après les Jeux de Paris qui se sont déroulés cet été. Les médaillés recevront, comme le veut la tradition, leur décoration officielle avant que ne soit organisé dans la soirée un concert géant place de l'Étoile.
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Les dirigeants des quatre principaux partis du Nouveau Front populaire sont tous réunis ce week-end à la Fête de l’Humanité. Insoumis, socialistes, écologistes et communistes savent qu’ils ont devant eux de nombreux défis pour maintenir l’union de la gauche et ne pas reproduire l’échec de la Nupes.
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Le président de la République Emmanuel Macron et l'ancien Premier ministre Édouard Philippe se sont offert un bain de foule commun, jeudi au Havre. Ils ont affiché une certaine complicité, au moment où leur mésentente latente refait surface avec la candidature du président d'Horizons pour prendre la succession du chef de l'État en 2027.
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Le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, promet un gouvernement "équilibré, représentatif et pluriel". Horizons et LR ont donné leur feu vert à leur participation. Celle de la gauche semble s’éloigner. Le NFP a déjà promis la censure. Pendant ce temps, François Ruffin règle ses comptes avec Jean-Luc Mélenchon en dénonçant des campagnes "au faciès". Pour en discuter, Roselyne Febvre reçoit Bruno Jeudy, de la Tribune Dimanche, Catherine Tricot, de la revue Regards, et Roland Cayrol, politologue.
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Alors que sa réouverture au public est prévue le 7 décembre, la cathédrale Notre-Dame de Paris retrouve huit de ses vingt cloches. Après avoir été nettoyées et restaurées à la suite de l'incendie qui a ravagé le monument en 2019, elles ont été livrées jeudi et seront remontées dans le beffroi nord durant les prochaines semaines.
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Le Premier ministre Michel Barnier s'est rendu jeudi sur ses terres savoyardes pour y retrouver les parlementaires de sa famille politique, Les Républicains, qui ont formellement donné leur feu vert à leur participation à l'exécutif. Emmanuel Macron a évoqué depuis Le Havre une "ère nouvelle" avec un Parlement fragmenté, affirmant espérer que "des compromis" se tisseront entre les forces politiques.
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Durant la période des Jeux olympiques et paralympiques, trois projets d’attentats ont été déjoués à Paris mais aussi à Saint-Étienne, a annoncé mercredi sur franceinfo le procureur antiterroriste Olivier Christen. "Ceux qui ont projeté ces attentats ont été interpellés", a-t-il par ailleurs précisé.
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Ici une plaque, là une rue, plus loin une école, un parc ou une salle communale : après les révélations d'agressions sexuelles visant l'abbé Pierre, de nombreuses villes s'apprêtent à débaptiser les lieux nommés en hommage à l'ancienne icône de la lutte contre le mal-logement.
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Alors que Michel Barnier promet un gouvernement pour "la semaine prochaine", les consultations se poursuivent à Matignon. Il était hier aux journées parlementaires du groupe Ensemble pour la République, où l'accueil a été selon lui "chaleureux", mais le camp macroniste n'offrira pas de blanc seing au Premier ministre. Du côté de la gauche, une entrée d'élus au gouvernement semble s'éloigner. De quelle marge de manœuvre dispose Michel Barnier ?
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En déplacement à Reims, le nouveau Premier ministre nommé par Emmanuel Macron a promis de présenter un gouvernement "la semaine prochaine", après une longue séquence de rencontres avec les présidents de partis et de groupes à l'Assemblée nationale et au Sénat. De leur côté, les parlementaires Les Républicains ont donné leur feu vert dans la soirée pour l'intégrer.
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À la une de votre magazine cette semaine, le choix du Président de la République de nommer un Premier ministre de droite en la personne de Michel Barnier. Au lendemain de cette annonce, plusieurs organisations et partis de gauche ont appelé à battre le pavé. Nous reviendrons aussi sur le procès hors norme des viols de Mazan. Sur le banc des accusés, Dominique Pélicot, un mari qui a drogué son épouse pendant des années pour la livrer à une cinquantaine d'hommes venus la violer chez eux, au domicile familial. Hélène Decommer, rédactrice en cheffe à Slate.fr, est notre invitée.
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La maire de Paris, Anne Hidalgo, a annoncé lundi que la vitesse de circulation sur le périphérique parisien sera limitée à 50 km/h à partir du 1er octobre, invoquant une mesure "de santé publique". L'impact sur la pollution de l'air pourrait cependant être limité, sauf si d'autres mesures étaient aussi prises pour aider à fluidifier le trafic.
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Cinq jours après sa nomination, le Premier ministre consulte et négocie en vue de constituer son équipe gouvernementale et de trouver une majorité à l'Assemblée nationale. Du côté du camp présidentiel, Michel Barnier va devoir s’employer à séduire une partie de la macronie. Pour Valérie Boyer, c'est aussi aux partis "d'être raisonnables". La sénatrice LR des Bouches-du-Rhône répond aux questions de Roselyne Febvre et Frédéric Rivière.
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Michel Barnier est Premier ministre depuis moins d’une semaine, mais ses premiers pas laissent déjà présager les futurs axes de sa politique. Celle-ci serait bien de droite et devrait tenir compte de la "surveillance" promise par l’extrême droite sur les projets annoncés par le nouveau chef du gouvernement.
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Après de nouvelles accusations d'agressions sexuelles visant l'abbé Pierre, figure emblématique de la lutte sociale et longtemps personnalité préférée des Français, les associations qu'il a créées évoquent un changement de nom et de logo. Emmaüs International a annoncé lundi étudier une "forme d'indemnisation des victimes". Le même jour, une enquête a révélé comment l’Église et Emmaüs ont couvert les agissements du prêtre.
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Michel Barnier poursuit ses consultations. Le Premier ministre a rencontré les représentants du groupe centriste LIOT, à la suite d'Edouard Philippe et Laurent Marcangeli. Yaël Braun-Pivet a appelé socialistes et écologistes à rejoindre "la majorité relative". Michel Barnier doit constituer un gouvernement, trouver une majorité et régler la question du budget français, alors qu'une procédure pour déficit excessif a été lancée par Bruxelles.
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Le rôle du président du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques, Tony Estanguet, dans l’immense succès de Paris 2024 est unanimement salué, au point que de nombreux observateurs envisagent pour lui une carrière politique. Mais le triple champion olympique ne semble pas pressé de marcher dans les pas de Guy Drut ou de David Douillet.
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Après les longues tractations et finalement la nomination de Michel Barnier comme Premier ministre, s'ouvre désormais une nouvelle période de négociations pour la formation du futur gouvernement. Un casse-tête pour le nouveau locataire de Matignon qui doit composer avec une Assemblée nationale divisée.
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Des quartiers d'Île-de-France à la Silicon Valley... C'est le défi relevé du programme Kesk'IA. Les frères Attik forment l'élite des quartiers à entrer dans le monde passionnant de l'intelligence artificielle. L'équipe de Pas 2 Quartier les a rencontrés à Grigny et au plus grand salon d'innovation technologique d'Europe : VivaTech, où les étudiants de la nouvelle génération présentaient leur projet.
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Opposés au maintien des anneaux olympiques sur la tour Eiffel, comme le propose la maire de Paris Anne Hidalgo, les descendants de Gustave Eiffel souhaitent que ceux-ci soient transmis à Los Angeles d'ici fin 2024.
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Beaucoup estiment que l'aval de Marine Le Pen a été déterminant pour la nomination de Michel Barnier à Matignon. "Je ne suis pas DRH d'Emmanuel Macron et par ailleurs je pense que seul un Premier ministre du Rassemblement national peut mettre en œuvre le projet du Rassemblement national", a-t-elle déclaré devant la presse, alors qu'elle faisait sa rentrée dans son fief, déambulant dans la braderie d'Hénin-Beaumont en enchaînant selfies et poignées de mains.
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La Drôme et l'Ardèche ont été placés samedi en vigilance orange aux orages, tandis que la Manche a été placée en vigilance orange aux pluie-inondations, a indiqué samedi après-midi Météo-France. Sujet France 3.
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Le rêve fané de voir la gauche à Matignon, le souhait abondamment crié d'imaginer Emmanuel Macron destitué et la "colère" face à un vote jugé bafoué : entre 110.000 et 300.000 manifestants de gauche ont défilé en France samedi contre "le coup de force de Macron".
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"Je ne suis pas DRH d'Emmanuel Macron". La cheffe de file des députés RN a démenti dimanche, alors qu'elle faisait sa rentrée dans son fief électoral, avoir participé à la nomination de Michel Barnier au poste de Premier ministre. Le nouveau gouvernement sera "jugé sur les actes", a-t-elle indiqué.
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Des milliers de personnes sont descendues samedi dans les rues en France pour protester contre la décision du président Emmanuel Macron de nommer Michel Barnier au poste de Premier ministre, les partis de gauche estimant que le chef de l'Etat n'a pas tenu compte du résultat des élections législatives. Précisions de Loïc Chalavon, avec Gaelle Fonseca et Marie Schuster.
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